Dans le dernier Glamour d'août 2011, que lis-je ? Que deux p'tites jeunes ( 21 et 23 ans ) étudiantes en stylisme, un peu dépitées par les stages proposés et par les perspectives professionnelles, ont décidé de créer un magazine de mode en ligne, pour montrer ce qu'elles savaient faire. Bon, encore un, me direz-vous ?
Mais attention nouveauté : ce magazine, " Simon(e) "de son petit nom, est participatif. Je m'explique : chacun y est bénévole, bosse sur son temps libre et peut montrer ses talents de photographe, mannequin, stylistes, maquilleurs.... Un C.V grandeur magazine en somme, qui fait la part belle aux débutants bourrés de talent, et encore inconnu, pour le moment... Réalisé "sans argent et sans piston", je dis chapeau.
Et là, que RE vois-je ? "Paulette" , un magazine en ligne participatif lui aussi, mais dans la veine de My Major Company. Ici, ce sont les lecteurs qui participent au projet en s'abonnant et en rendant possible une impression papier. Recyclé de surcroît. Dans le petit monde du magazine, gouverné par les (très) gros groupe de presse, ce petit vent d'audace et de liberté est plutôt rafraichissant...
Et je noterai pour finir que le rétro a encore et toujours décidément la côte : Simone et Paulette viennent grossir les rangs du Prénom-marque-désuet, aux côté d' "Yvonne Yvonne" (bat marque de sacs) des "Brigitte" (groupe de chanteuses très bat), à quand le retour en grâce des Odette et Bernadette ?
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